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1.
Infectious diseases now ; 2023.
Article in English | EuropePMC | ID: covidwho-2304659

ABSTRACT

Objectives To report characteristics and outcome of COVID-19 patients who required hospital admission in sub-Saharan Africa clinics with no access to invasive mechanical ventilation. Methods Between April and June 2021, documented COVID-19 patients with SaO2 <95% who were admitted in two clinics in Douala (Cameroon) were invited to participate. Data were prospectively collected using a standardized questionnaire. Results We included 67 patients: 39 males (58%), median age 62 years [50-70]. Comorbidities included hypertension (n=38, 57%), obesity (n=26, 38%), and diabetes (n=16, 24%). No patient reported COVID-19 vaccination. On admission, 35 patients (52%) required O2 >6 L/min. CT scan demonstrated extended lesions (>50%) in 50/61 cases (82%). Most patients received dexamethasone (n=64, 96%), heparin (n=64, 96%), chloroquine/azithromycin (n=59, 88%), and broad-spectrum antibiotics (n=59, 88%). Sixteen patients died (24%), after a median of 11.5 days [7.5-15.5] post-admission. Conclusions Despite the lack of invasive mechanical ventilation, 76% of COVID-19 patients survived.

2.
Infect Dis Now ; 52(8): 447-452, 2022 Nov.
Article in English | MEDLINE | ID: covidwho-2028077

ABSTRACT

OBJECTIVES: To estimate the SARS-CoV-2 IgG seroprevalence rate in healthcare workers (HCWs) from Western France after the first 2020 wave, its determinants and the kinetics of total SARS-CoV-2 antibodies. PATIENTS AND METHODS: Overall, 9,453 HCWs responded to a self-questionnaire and underwent a lateral flow immunoassay to assess SARS-CoV-2 IgG presence. For 72 HCWs who tested positive, total anti-nucleocapsid antibodies were assessed at day 0, 30, and 90. RESULTS: SARS-CoV-2 IgG seroprevalence rate was 1.06 % [0.86 %-1.27 %]. Factors associated with IgG presence were gender, performing upper respiratory tract samples, contact with HCWs or household members diagnosed with COVID-19. Total antibodies decreased between day 0 and day 90, with anosmia or ageusia, and were higher in HCWs older than 50 years. CONCLUSION: We reported a low prevalence rate of IgG and identified several risk factors associated with its presence and persistence of total antibodies. Additional studies are needed to confirm these observations.


Subject(s)
COVID-19 , SARS-CoV-2 , Humans , Seroepidemiologic Studies , COVID-19/epidemiology , Antibodies, Viral , Health Personnel , Immunoglobulin G , Hospitals
3.
Infect Dis Now ; 52(4): 223-226, 2022 Jun.
Article in English | MEDLINE | ID: covidwho-1814491

ABSTRACT

OBJECTIVE: To characterize the willingness to get the third COVID-19 vaccine dose among health care workers (HCWs). METHODS: A cross-sectional study using a self-administered questionnaire proposed on a voluntary basis to all HCWs of a French teaching hospital in October and November 2021. RESULTS: Of 1,655 HCWs who completed the questionnaire, 64.2% were willing to receive the third dose, 20.1% were hesitant, and 15.7% were reluctant. On multivariate analysis, older age (P<0.0001), medical and executive staff, willingness to receive the flu vaccine (OR=5.72 [4.24-7.64]), previous vaccine scheme with ChAdOx1 nCoV-19 (AstraZeneca) (OR=2.13 [1.58-2.87]), and history of COVID-19 with a complete COVID-19 vaccine scheme (OR=2.77 [1.04-7.41]) were independent predictors of HCWs' willingness to get the third dose. CONCLUSIONS: One third of HCWs were hesitant or opposed to a third COVID-19 vaccine dose. Better knowledge of determinants of the willingness to get this third dose may improve communication and vaccine strategy.


Subject(s)
COVID-19 , Influenza, Human , Attitude of Health Personnel , COVID-19/epidemiology , COVID-19/prevention & control , COVID-19 Vaccines , ChAdOx1 nCoV-19 , Cross-Sectional Studies , Health Personnel , Humans , Influenza, Human/prevention & control , Patient Acceptance of Health Care
5.
Revue du Rhumatisme ; 88:A300, 2021.
Article in French | ScienceDirect | ID: covidwho-1537059

ABSTRACT

Introduction Le GRAINS, groupe de réflexion sur les AINS, est composé d’experts pluridisciplinaire hospitalier et de ville qui regroupe plusieurs médecins spécialistes. Il s’est constitué en vue de réfléchir sur le bon usage des anti-inflammatoires non-stéroïdiens (AINS) dans le contexte de la pandémie de COVID-19, et est soutenu par GlaxoSmithKline Santé Grand Public. Les travaux effectués par le GRAINS ont été publiés dans une revue de littérature exhaustive. L’objectif du GRAINS est d’avoir une discussion ouverte sur l’utilisation des AINS dans la gestion de la douleur dans le contexte de la COVID-19 et des infections en général, considérant les progrès réalisés dans la production de connaissances et les preuves de la littérature scientifique. Matériels et méthodes Ce groupe pluridisciplinaire d’experts constitué de rhumatologues, infectiologues, pédiatre, médecin généraliste, pharmacologue et pharmaciens, a pointé l’inquiétude et le manque d’informations énoncés par les patients à leur pharmacien. Les experts du GRAINS se sont réunis au travers de différentes assemblées et se sont accordés sur la nécessité de mettre à disposition des professionnels de santé une information synthétique de la littérature scientifique et des outils pour vulgariser cette information pour le grand public. La revue de littérature réalisée par les experts du GRAINS porte sur plus de 40 études internationales récentes concernant l’utilisation des AINS dans un contexte de la COVID-19. Résultats Le recours aux anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) en général, et à l’ibuprofène en particulier, n’expose pas à un risque accru de la Covid-19 ni à des formes grave de cette infection. Discussion Encourager la discussion sur le bon usage des AINS en automédication. Les experts pointent l’inquiétude et le manque d’information énoncés par les patients à leur pharmacien. Par leur action ils souhaitent alerter sur les risques liés au surdosage d’alternatives aux AINS en particulier dans le traitement de la fièvre et de la douleur. Ils encouragent à ne pas se priver davantage de l’arsenal thérapeutique des AINS et militent pour une utilisation raisonnée de ces traitements. Conclusion Il n’existe actuellement aucune preuve scientifique établissant un lien entre l’ibuprofène et l’aggravation de l’infection due au SARS-CoV-2.

7.
Medecine et Maladies Infectieuses ; 50 (6 Supplement):S19-S20, 2020.
Article in French | EMBASE | ID: covidwho-822223

ABSTRACT

Declaration de liens d'interets: Les auteurs declarent ne pas avoir de liens d'interets. Copyright © 2020

8.
Médecine et Maladies Infectieuses ; 50(6, Supplement):S20-S20, 2020.
Article | WHO COVID | ID: covidwho-726692

ABSTRACT

Introduction Au 13 juin 2020, la pandémie COVID-19 est responsable d’au moins 425 931 décès dans le monde dont 29 354 en France. Sans traitement spécifique efficace ni recommandation au début de l’épidémie en France, les attitudes thérapeutiques ont évolué en fonction des publications scientifiques et des recommandations officielles. Ainsi, l’intérêt de l’hydroxychloroquine (HCQ), du tocilizumab ou des corticoïdes a été particulièrement controversé. L’objectif de notre étude est de décrire les attitudes thérapeutiques pour la prise en charge des COVID-19 et leur évolution au cours de la période épidémique en France. Matériels et méthodes Un questionnaire court anonymisé en ligne a été diffusé par la société de pathologie infectieuse de langue française (SPILF) les 22 mars, 23 avril et 10 juin 2020. Il recueillait les caractéristiques d’exercice des répondants, les références utilisées pour la prise en charge des patients COVID-19 et les prescriptions réalisées ou privilégiées (molécules et indications). Résultats Nous avons analysé 144 réponses issues de 115 médecins. Cinquante-trois (46 %) exercent en centre hospitalier universitaire, 79 (69 %) dans un service de maladies infectieuses. Dix-neuf médecins (32 %) de la première étude participaient à au moins un protocole de recherche (5 études différentes), contre 40 (74 %) d’entre eux lors de la deuxième étude (18 protocoles, p<0,01). Quarante-six médecins (77 %) proposaient un traitement spécifique à la première enquête, 35 (65 %) à la deuxième, et 27 (90 %) l’envisageaient à la dernière, uniquement en contexte hospitalier. Quinze (33 %) de ces prescriptions se faisaient dans le cadre de la recherche à la première enquête contre 16 (59 %) à la dernière. Initialement proposée par 35 (76 %) et 22 (63 %) prescripteurs aux 2 premières enquêtes, l’HCQ est envisagée par 5 d’entre eux (19 %) en juin (p<0,01), uniquement dans le cadre de la recherche. À l’inverse, les corticoïdes étaient proposés par 1 (2 %) puis 12 (34 %) prescripteurs aux 2 premières enquêtes et sont maintenant envisagés par 21 (78 %, p<0,01), pour 12 d’entre eux hors étude. La position vis-à-vis de l’association lopinavir-ritonavir est restée stable dans le temps, successivement rapportée par 23 (50 %), 19 (54 %), puis 11 (41 %) prescripteurs, généralement dans le cadre d’étude thérapeutique. Le remdesivir, initialement proposé par 5 (11 %) puis 2 (6 %) prescripteurs, est envisagé par 13 (48 %) en juin (p<0,01). Le tocilizumab suit une même évolution, proposé successivement par 4 (9 %), 6 (17 %) puis 12 (44 %) des prescripteurs (p<0,01). La prescription d’anakinra, nulle à la première enquête, est envisagée par 7 prescripteurs (26 %) à la dernière. Conclusion Au cours de cette première vague épidémique en France, on a observé une évolution significative des habitudes de prescription, avec baisse de prescription de l’HCQ, et augmentation du recours au remdesivir, aux corticoides et au tocilizumab.

9.
Non-conventional in French | WHO COVID | ID: covidwho-726724

ABSTRACT

Introduction/Objectif Déterminer la durée des différents symptômes lors de la phase initiale d’une infection à SARS-Cov-2. Matériels et méthodes Les patients diagnostiqués « COVID-19 » et suivis en ambulatoire du 4 mars au 15 mai 2020 ont été télésurveillés via une application téléphonique (ou internet) avec un questionnaire biquotidien standardisé recensant leurs symptômes. Une étude prospective observationnelle monocentrique a été organisée chez ces patients dont l’infection à SARS-Cov-2 était confirmée par RT-PCR ou avec forte présomption clinique/radiologique. Ceux qui remplissaient moins de 15 % des questionnaires étaient exclus. La durée de suivi prévue à l’inclusion était de 20jours, mais pouvait être plus brève si le patient se considérait guéri. Résultats Parmi les 387 patients suivis sur l’application, 213 (55 %) ont été inclus. L’âge médian était de 39 ans (IQR : 28–49) et le sex-ratio H/F de 0,42. Un facteur de risque de complication était rapporté chez 14 % (29/213). Aucun patient de cette cohorte ambulatoire n’a reçu d’hydroxychloroquine, lopinavir/ritonavir ou remdesivir. Cinq patients ont secondairement été hospitalisés. Aucun n’est décédé. Le suivi médian était de 18jours (IQR : 16–21). Les durées médianes des symptômes ont été respectivement (médiane [IQR] en jours) : altération de l’état général (11 [7–15]), fièvre (9 [5–14]), frissons (9 [6–14]), céphalées (14 [11–18]), courbatures (13 [8–17]), toux (16 [11–19]), rhinorrhée (13 [8–17]), expectorations (13 [8–19]), douleurs thoraciques (12 [7–17]), dyspnée de repos (9 [6–15]), dyspnée d’effort (16 [12–20]), gêne respiratoire (10 [7–14]), diarrhée (11 [7–15]), vomissements (6 [4–10]), difficultés alimentaires (11 [7–16]). La durée médiane de prise de paracétamol était de 12jours [9–17]. Lors du dernier suivi, aucun patient n’est fébrile, 14 % gardaient une rhinite (19/134), 50 % toussaient (87/173) et 50 % restaient dyspnéique à l’effort (73/147). Conclusion La durée des symptômes de COVID-19 est souvent plus longue que deux semaines. L’information du patient lors du diagnostic doit le préparer à cette situation.

10.
Non-conventional in French | WHO COVID | ID: covidwho-726693

ABSTRACT

Introduction Bien que les manifestations neurologiques associées à l’infection par SARS-CoV-2 soient de plus en plus rapportées, peu de données sont disponibles sur leurs caractéristiques cliniques et leur pronostic. Matériels et méthodes Nous avons mené une étude observationnelle rétrospective multicentrique afin de décrire les manifestations neurologiques associées à l’infection par SARS-CoV-2 pendant la vague épidémique en France en mars et avril 2020. Nous avons inclus des patients COVID-19 ayant des symptômes neurologiques de novo survenant en relation temporelle étroite avec les autres symptômes de la maladie. Résultats Nous avons inclus 222 patients NeuroCOVID provenant de 46 centres de différentes régions françaises. L’âge médian était de 65 ans (IQR 53–72) et 136 patients (61,3 %) étaient des hommes. La maladie COVID-19 était sévère ou réanimatoire pour près de la moitié des patients (102, 45,2 %). Des atteintes du système nerveux central étaient rapportées pour 189 patients (85,1 %) et des atteintes du système nerveux périphérique pour 29 patients (13,1 %). Les symptômes neurologiques les plus fréquents étaient une altération de l’état mental (117, 52,4 %) et un déficit neurologique focal central (97, 43,7 %). Une imagerie cérébrale a été réalisée chez 192 patients (86,5 %), dont 157 IRM (70,7 %), et montrait des lésions aiguës dans 85/192 cas (44,3 %). Parmi les 97 examens du liquide céphalorachidien (LCR), une pléiocytose était présente chez 18 patients (18,6 %) et la PCR SARS-CoV-2 était positive dans 2 des 75 LCR testés (2,7 %). Le suivi médian était de 24jours et le taux de mortalité était de 12,6 %. Sur l’ensemble des manifestations neurologiques associées au COVID-19, nous décrivons 67 patients avec encéphalopathie associée au COVID, 21 patients avec encéphalite, 57 patients avec accident ischémique cérébral et 15 patients avec syndrome de Guillain-Barré. Conclusion Il s’agit à notre connaissance de la plus large série de patients neuroCOVID actuellement publiée au monde. Elle met en évidence le spectre très large des différentes manifestations neurologiques liées au COVID-19, avec au premier plan encéphalopathies et accidents ischémiques cérébraux, et dans une moindre mesure, encéphalites et syndromes de Guillain-Barré.

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